La troupe de théâtre d'Édouard présente son spectacle annuel
20 MARS 2015 - La troupe d'Édouard présente «My secret Garden», les 25, 26, 27 et 28 mars 2015, à 20 h, au Centre des arts de la scène Desjardins, à Longueuil.
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Le Centre des arts se situe au 1000, boulevard Roland-Therrien (à 5 min à pied du Cégep). Billets 10 $ en prévente au Cégep, au local B-25 (945, chemin de Chambly) ou 15 $ à la porte. Pièce déconseillée aux jeunes enfants.
Les étudiants qui monteront sur scène sont :
Patrick Aura - Sciences humaines, profil Monde
Marie-Pier Barbeau – Arts, lettres et communication, option Théâtre
Marie-Kim Bouchard-Genest - Arts, lettres et communication, option Lettres
Sabrina Gladu - Arts, lettres et communication, option Théâtre
Jeremy Gour - Sciences humaines, profil Individu
Florence Lemay - Arts, lettres et communication, option Théâtre
Émilie Noël-Servais - Arts visuels
Èva perreault-Gagnon - Arts, lettres et communication, option Théâtre
Laurence Pigeon - Arts visuels
Myriam Poulin - Techniques de radiodiagnostic
Marika Tancsar Lachapelle - Arts, lettres et communication, option Théâtre
Ksenia Sysolyatina - Sciences humaines, profil Individu
Mise en scène et adaptation : Jean-Marc Dalphond
Assistance à la mise en scène : Marjolaine Lamontagne
Scénographie et éclairages : Martin Fontaine
Conception des projections vidéo : Victor Bégin
«My secret garden »
L’auteur Falk Richter, qui est aussi le narrateur et le protagoniste, se trouve dans une chambre d’hôtel, au 27e étage, seul, la nuit, quelque part. Il travaille à une pièce pour laquelle il n’a toujours pas trouvé de titre. Il est agité, épuisé et esseulé. Il ébauche et abandonne aussitôt. Il divague, il se perd dans une suite de fantasmes espérant trouver une piste intéressante. Pour y arriver, il emploie toutes les issues; son enfance vécue dans les banlieues de l’Allemagne d’après-guerre, sa douloureuse relation avec ses parents, les angoisses du métier d’auteur, ses amours passés, la honte viscérale et le dédain du crime allemand, la honte viscérale de ne pouvoir rien faire pour changer l’état du monde, les peurs et fantasmes de la société, le monde extérieur, la crise, le coma. Il veut en venir à bout, mais il ne sait pas comment faire.